Vade retro Satanas
Je m'étais pourtant juré de ne jamais me laisser avoir par les consoles de jeux et la maudite PS2. Mais voilà, depuis que le diable est dans la maison, je me retrouve de plus en plus accro à Cel Damage Overdrive, une course loufoque de petites voitures dans un univers de cartoons ( les amateurs reconnaîtront un concept assez proche d'Ignition qui fit les beaux jours de notre PC en 2002 ). Non seulement, il faut déjouer les pièges inhérents à chaque monde virtuel ( des troncs qui se balancent, des aimants paralysants, des convois inopportuns ) mais il faut en outre se prémunir contre des adversaires particulièrement mal lunés et armés jusqu'aux dents ( de la tronçonneuse démente à la batte de base ball baladeuse ). Après des premières courses balbutiantes et un abonnement que je croyais définitif à la dernière place, je me débrouille de mieux en mieux, m'arme en conséquence et arrive même à faire dérouiller mon professionnel de fils ( une fois sur 8 en moyenne seulement, faut pas s'emballer!).
Alors, pourquoi Cel Damage Overdrive plus que Burn out et Need for speed ? Sans doute parce qu'on ne s'embête pas avec des réglages interminables et des options de spécialistes qui feraient passer Jarno Trulli pour un pilote de karting. Ne subsite que le plaisir d'une course qui bastonne, un peu comme quand on regardait Satanas et Diabolo dans The Wacky race sauf que maintenant on a pris la place du Sergent Grosse Pomme et du professeur Maboulette.
Alors, pourquoi Cel Damage Overdrive plus que Burn out et Need for speed ? Sans doute parce qu'on ne s'embête pas avec des réglages interminables et des options de spécialistes qui feraient passer Jarno Trulli pour un pilote de karting. Ne subsite que le plaisir d'une course qui bastonne, un peu comme quand on regardait Satanas et Diabolo dans The Wacky race sauf que maintenant on a pris la place du Sergent Grosse Pomme et du professeur Maboulette.
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