Requiem for a dream
Vendredi 8, j’aurai pu, en me secouant un peu , profiter d’un petit Breakfast at Tiffany’s ou de Peeping Tom au festival ( voir ci-dessous ), mais le cœur m’a manqué ( les queues, la foule, je déteste !) et j’ai préféré regarder un film que je me promettais depuis longtemps de visionner : Requiem For a dream de Darren Aronofsky. Jocelyn avait écrit deux mails fantastiques sur le sujet ( je ne me pardonne d’ailleurs pas d’avoir égaré le premier ), mes élèves bloggers qui s’embrasaient : il y’avait de quoi jeter plus qu’un coup d’œil. Ce que je fis samedi soir à l’heure de Fort-Boyard. Il ne me fallut pas longtemps pour réaliser que je n’étais pas devant un film comme les autres. Pas de préambule ou de voix-off contrite : juste un môme filmé en plan serré qui déleste sa mère de sa télé pour s’acheter sa dose. Enfin un film qui vous colle une tarte plutôt que de vous prendre par la main. Un film qui ne se disperse pas en chemin dans la sociologie, le prêchi-prêcha, le misérabilisme ou la parodie ( comme Trainspotting ) ; un film qui tient son sujet jusqu’à la fin, assez lamentable mais au fond bien ordinaire . Un film sans rédemption, ça fait du bien !
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